Elle se base sur l’analyse des difficultés spécifiques que ces populations (artistes, intermédiaires artistiques et culturels) rencontrent dans leurs formations artistiques, dans leurs processus de création artistique, de production culturelle et de réflexions critiques sur les problématiques contemporaines qui traversent la société belge.

Cela nécessite de porter une attention particulière à la façon dont les enjeux d’art et de culture se posent et se déclinent dans le contexte d’une ville comme Bruxelles, à la fois pôle multiculturel et ville située au centre d’une Europe postcoloniale.

Sur la base de ces analyses, Véronique Clette proposera, en conclusion, de tirer quelques pistes de réflexion et de recommandation sur l’importance de penser l’enseignement de l’art et de la culture depuis une approche décoloniale.

Informations pratiques

jeudi 10 Oct. 14:30

À propos de cette conférence

Cette conférence est faite pour :

  • Animateur·trice extrascolaire
  • Conseiller·ère pédagogique
  • Educateur·trice
  • Futur·e professionnel·le de l'éducation
  • Membre d'un Pouvoir Organisateur
  • Un·e enseignant·e dans le secondaire
  • Un·e enseignant·e dans le supérieur
  • Un·e enseignant·e en primaire
  • Un·e enseignant·e spécialisé

Conférenciers/ères

  • Véronique Clette-Gakuba

    Chercheuse à l’Institut de sociologie de l’ULB et membre de Présences noires. Son travail porte sur les conditions de postcolonialité dans l’art et la culture en Belgique.